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 PRÉPARATION AU MONDIAL AU JAPONDANS LES GRANDES LONGUEURS

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alain
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MessageSujet: PRÉPARATION AU MONDIAL AU JAPONDANS LES GRANDES LONGUEURS   PRÉPARATION AU MONDIAL AU JAPONDANS LES GRANDES LONGUEURS EmptyMar 25 Juil - 21:29

PRÉPARATION AU MONDIAL AU JAPONDANS LES GRANDES LONGUEURS
Traditionnellement attirée par le jeu rapide, l'équipe de France travaille également à se construire une attaque solide sur demi-terrain en conservant une balle vivante. Avec Boris Diaw en organisateur à côté de Tony Parker, «une identité de jeu à deux vitesses» est possible.



Diaw et Parker montrent le chemin. (L'Equipe)

A retenirJEU RAPIDE - JEU PLACÉ
Claude Bergeaud résume ainsi la tactique offensive qu'il veut mettre en place : «Il faut savoir exploiter les qualités spécifiques de cette équipe : une forte agressivité, des intentions de jeu rapide, aller vite vers l'avant. Mais l'on doit être capables de couper (ce jeu là) avec des installations de phase courtes. Quand on a couru vers l'avant, si on ne conclut pas très vite, il va falloir organiser quelque chose qui va être court dans le temps, qui va durer quatre - cinq secondes. Evidemment, ce sera autour de Tony et de Boris, qui seront les créateurs de ces phases courtes.» Il reste bien sûr une troisième possibilité : le jeu lent, avec un meneur qui garde la balle jusqu'à ce qu'il trouve un intérieur capable de travailler la balle dos au panier, près du cercle. Si celui-ci ne peut marquer seul, il peut ressortir à l'opposé ou avec un soutien sur le côté fort, suivant les aides défensives... et son propre niveau. Ce n'est ni la spécialité de Frédéric Weis, ni celle de Cyril Julian, encore moins de Ronny Turiaf ou Johan Petro. D'où la volonté de faire circuler le ballon sans le descendre au sol, quitte à combiner entre intérieurs. «On est pas mal au niveau de la relation entre les intérieurs», estime le sélectionneur. Les mains de Boris Diaw, mais également la mobilité de Florent Piétrus, offrent des possibilités dans ce secteur. «On essaye de jouer sur nos qualités athlétiques comme l'ont fait les Américains pendant des années. En même temps, on a cette double identité, ce jeu européen, un peu plus posé», conclut Boris Diaw.


LA BASE DÉFENSIVE
Pour aller vite en contre-attaque, la récupération de la balle doit se faire au mieux avant que l'adversaire ait pu mettre un joueur en position de tenter un tir, au pire sans lui laisser de seconde chance. «On a d'abord eu un peu de mal à défendre sur eux parce qu'on les a laissés jouer, expliquait Tony Parker après la victoire contre le Sénégal (95-58). En deuxième mi-temps, on a mis plus de pression, on a coupé les lignes de passes et on a mieux contrôlé le rebond.» Le capacités athlétiques des Bleus permettent de mettre une forte pression sur le porteur de balle adverse, en défendant tout terrain si nécessaire. Contre la Chine, qui alignait il est vrai une jeune sélection, la vitesse de jambes de Parker, Gomis ou encore Gelabale a fait merveille. Dans ce secteur, pas d'inquiétude.



«Un jeu toujours basé sur une bonne défense»
S'il pouvait faire chauffer la balle par un moyen quelconque, histoire que personne ne puisse la garder en main, le staff de la sélection le ferait probablement. L'équipe de France n'est pas la Grèce : elle ne veut pas perdre de temps mais, à l'inverse, en gagner sur les 24 secondes réglementaires en attaque. Historiquement, la France a souvent privilégié le jeu sur la longueur. D'un panier à l'autre, en contre-attaque pure ou en jeu de transition, les Français sont redoutables par nature. On se souvient de Tariq Abdul-Wahad, lancé comme un tank à pleine vitesse, d'un Richard Dacoury volant, ou même beaucoup plus tôt de René Chocat, le meilleur joueur de l'équipe de France médaillée d'argent aux JO 1948. Et la jeune génération au pouvoir, avec ses qualités athlétiques surdimensionnées, pousse cette caractéristique encore plus haut. «Notre jeu restera toujours basé sur une bonne défense et sur les fast breaks», le jeu vers l'avant, affirme Boris Diaw.


«Un jeu en mouvement aussi sur demi-terrain»
Les sélectionneurs n'ont pas véritablement eu le choix non plus. La sélection n'a jamais vraiment fait le poids pour jouer placée malgré des pivots bien nés mais qui sont restés au bord de la route, à l'instar de Jérôme Moïso. Cette année, tous les joueurs s'accordent pour reconnaître que Frédéric Weis peut enfin offrir une menace très près du cercle. De quoi fixer certaines défenses en attaque sur de courtes séquences. Mais cela peut-il suffire ? «On va être contraint à être très forts sur le demi-terrain parce que tout le monde sait bien qu'il faut stopper l'équipe de France dans son jeu rapide, explique Claude Bergeaud. Tous les adversaires vont nous couper l'intérieur, c'est culturel. Il va y avoir des réflexes de compression défensive. Le jeu en mouvement devra être aussi sur le demi-terrain. Cela devra se faire avec beaucoup de rythme. Le spacing - les déplacements des joueurs sans ballon dans les espaces libres - doit être très fin.»


«Un jeu très ambitieux»
Quand un «trou» ne se crée pas assez vite d'un côté de la défense, il faut aller de l'autre en une ou deux passes. Les transferts à l'opposé étaient l'axe prioritaire de travail au début du stage de préparation. Du pur réflexe, facile à dire, difficile à appliquer. «C'est un jeu qui est il est vrai très ambitieux parce qu'il paraît simple», consent le sélectionneur. L'association de Tony Parker et Boris Diaw le rend envisageable. En décalant ce dernier dans la raquette par pénurie, l'entraîneur de Phoenix, Mike D'Antoni, a comblé sans le vouloir l'un des manques récurrents des Bleus, celui de l'intérieur-créateur, de quoi valoriser une «identité de jeu à deux vitesses». Parker : «on a décidé de mettre Boris en poste quatre (ailier fort) pour recréer les automatismes que lui a à Phoenix avec Steve Nash et moi à San Antonio avec Tim Duncan. Avec cette arme-là, on pourra aller loin». «Boris est un deuxième meneur», savoure plusieurs de ses équipiers. Mais qui dit création dit réception. «Ca a changé, note Florent Pietrus. Nous, les ailiers forts, on devra rentrer maintenant les shoots ouverts.» Huit autres matches amicaux ne seront pas de
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